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A FAN-TAS-TIC woman (short story, anglais euro)
Bon, bien que le texte soit certainement bourré de fautes (surtout sur les temps du passé), je vous conseille de le lire en anglais. je l'ai écrit directement dans cette langue pour mon devoir, et on retrouve beaucoup moins le rythme ou des expressions que j'ai voulu mettre en français.
J'aime bien cette petite histoire, mais j'aurai pu la faire beaucoup mieux si je m'y était prise plus tôt je pense. La consigne était d'écrire une courte nouvelle, sur une anecdote ou un événement du quotidien, sur le modèle d'une autre étudiée en cours (The Luncheon, de W. S. Maugham), en y introduisant une phrase que vous remarquerez à la lecture. En gros, voilà voilà. La version en anglais est mise en premier, mais celle en français est juste en dessous (n'hésitez pas à me corriger si vous voyez des choses étranges...).
Enjoy.
I have never learnt anything from my mistakes, you know, Sweetie. It was not the first time, this day, that a car knocked me down. You must always look both ways when you want to cross street.
- Dad, I told you to tell me how you had meet Mom, not a lecture about the street.
- I know, one minute. It was a fantastic story. Now, be quiet and listen, listen well, Sweetie...
« It was a bright day of summer. I was a young man unconscious of the dangers around me. I was walking slowly, whistling, carelessly the cars on the street. I was on the middle of the street, when a FAN-TAS-TIC red car knocked me down. And after that, a FAN-TAS-TIC woman get out of the car. She was so pretty, as shining as the sun, far behind her. She was panicked. She asked me many questions, but I couldn't hear any of it. I just told her :
- You know, I have never learnt anything from my mistakes. It the fourth time that a car crashs me.
- Are you ok ? Oh, your leg, look at your leg ! » So I looked at my leg. And I see no leg. »
- No leg !? But, Daddy...
- Chhh, one at a time, can I continue ? Thanks. So...
« Actually, my leg didn't really run away from me (with only one foot, it's not easy, you see). My ankle and my knee were not ligned up at all, and with the shadow of the car, it seemed that I had effectively no leg. After seen that, I laughed, and I passed out.
I woke up on a bright and white room, almost as bright as the woman, your mom. I didn't know her at this time. She was reading something. She hadn't yet seen that I was awake. I could observe her as much that I wanted. She was so pretty... Wearing colors in the all-white-chamber, like a poppy in the snow. »
« - What ?, she told me. And I answer : - What, ''what'' ? I said nothing.
- No, you said something about a poppy and the snow...
- Oh... And after that, we talked during many hours, until they let me go home. So I went back to my home in her FAN-TAS-TIC red car with her, a FAN-TAS-TIC woman. We haven't lost touch, she came often take care of me. And some month later, we get married. »
I have never learnt anything from my mistakes. But this time, it ended well. I never look the street now, when I want cross the steet. Who knows, maybe one day a generous billionaire in his car (fantastic, of course) will knocked me down...
« Je n'ai jamais rien appris de mes erreurs, tu sais, mon chou. Ce n'était pas la première fois, ce jour-là, qu'une voiture me percutait. Il faut toujours regarder des deux côtés quand tu veux traverser la route.
- Papa, je t'ai demandé de me dire comment tu as rencontré Maman, pas de me donner une leçon sur la route !
- Je sais, une minute. C'était une histoire fantastique, sois silencieuse et écoute, écoute bien, ma chérie... »
« C'était une claire journée d'été. J'étais un jeune homme inconscient des dangers autours de moi. Je marchais tranquillement, sifflotant, sans prendre garde aux voitures sur la route. J'étais au milieu de la rue, quand une FAN-TAS-TIQUE voiture rouge me renversa. Et après ça, une femme FAN-TAS-TIQUE sortit de la voiture. Elle était tellement belle, aussi brillante que le soleil, loin derrière elle. Elle était paniquée. Elle me posait plein de questions, mais je ne pouvais en entendre aucune. Je lui ai juste dit :
« Vous savez, je n'ai jamais rien appris de mes erreurs. C'est la quatrième fois qu'une voiture me renverse.
- Tout va bien ? Oh, votre jambe, regardez votre jambe ! » J'ai donc regardé ma jambe. Et je n'ai pas vu de jambe. »
« Pas de jambe ?! Mais, Papa...
- Chut, une chose à la fois, je peux continuer ? Merci. Donc... »
En fait, ma jambe ne s'était pas réellement enfuie (avec un seul pied, ce n'est pas simple, tu vois). Ma cheville et mon genou n'étaient pas alignés du tout, et avec l'ombre de la voiture, il semblait effectivement que je n'avais plus de jambe. Après avoir vu ça, j'ai ri, et je me suis évanoui.
Je me suis réveillé dans une salle blanche et brillante, presque aussi brillante que la femme, ta mère. Je ne la connaissais pas encore. Elle était en train de lire quelque chose. Elle n'avait pas encore vu que j'étais éveillé. J'ai pu l'observer autant que je le voulais. Elle était si belle... habillée en couleurs dans cette chambre entièrement blanche, telle un coquelicot dans la neige.
« Quoi ? » elle m'a demandé. Et j'ai répondu :
« Quoi ''quoi'' ? Je n'ai rien dit.
- Si, vous avez dit quelque chose à propos d'un coquelicot et de neige...
- Oh... » Et après cela, nous avons parlé pendant des heures, jusqu'à ce qu'ils me laissent rentrer. Je suis donc rentré chez moi, dans sa FAN-TAS-TIQUE voiture rouge avec elle, cette femme FAN-TAS-TIQUE. Nous n'avons pas perdu contact, elle venait souvent prendre soin de moi. Et quelques mois après, nous nous sommes mariés.
Je n'ai jamais rien appris de mes erreurs. Mais cette fois-ci, ça avait bien terminé. Je ne regarde plus jamais la route maintenant, quand je veux traverser. Qui sait, peut être qu'un jour un généreux millionnaire dans sa voiture (fantastique, bien sûr) va me renverser...
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