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        Bon à l'orgine j'avais un truc bien précis en tête, puis fatigue et déprime obligent, je suis partie dans un délire complètement différent de ce que j'avais dans l'idée à l'origine, voir limite hors-sujet xD
        Je vous emmène donc dans ce monde étrange qu'est ma tête et ce qui me et vous permet d'y accéder :')

     

                   Le fantastique.

     

         Un mot qui regroupe bien des choses. On peut en voir notamment dans des films, des livres, des romans, des poèmes, des dessins, de la musique, des expositions, … Il n'existe pas mais est présent partout autour de nous en même temps. C'est peut être d'ailleurs une partie de ce qui fait que le fantastique est fantastique.

     

         Je vais éviter de partir dans un débat philosophique comme je suis capable de le faire, et venir à ce qui m'intéresse.

         Le fantastique dans le vie de tous les jours. Pas ce fantastique que vous voyez sur la dernière affiche d'un film au cinéma ou sur la couverture du dernier best-seller.

     

         Ce qui rend la vie fantastique.

         Si, vous savez.

     

              Ce lever de soleil en partant travailler tôt le matin, illuminant un ciel morne autrement de couleur chatoyante qui donnent envie de sourire.

              Ce garçon ou cette fille que vous croisez sur la route et vous adresse un sourire.

              Ce minuscule chien adorable grand comme votre poing qui aboie sur un majestueux husky ou labrador.

     

         Ou encore l'odeur des pâtisseries en passant devant la boulangerie.

         Cette musique dans vos oreilles qui vous donne des frissons et bien plus encore.

         Cette envie de vivre qu'elle vous procure.

     

              Fermez les yeux un instant, et ça y est, vous êtes loin de notre monde, vous êtes dans le vôtre, bien plus heureux, beau, à vos goûts... ce monde fantastique.

     

              Il suffit que les premiers accords de guitare de Motörhead résonnent pour m'y emmener.

         Que Matt Tuck de Bullet for my Valentine ouvre la bouche et chante pour m'y téléporter.

         Que j'imagine le jour où je serai derrière une batterie à jouer pour des gens.

         Que le bleu électrique des cheveux d'Alissa White Gluz s'affiche sur mes rétines.

         Que je pense à mon dernier concert pour y retourner.

     

              Mon fantastique, est, avant tout, dans ma musique. Une musique libre, une musique sauvage, une musique moins courante, ce qui lui donne un charme, une impression d'unicité, une musique brute.

     

         Mais avant tout, mon fantastique est dans mes rêves. Il naît à l'intérieur de moi, est nourrit par ces odeurs de croissants, ces arpèges de l'enfer, ces lectures envoûtantes, et ne mourra pas à ma mort. Il continuera de vivre dans le cœur d'autres personnes.

         Ce fantastique là, c'est celui qui me permet le matin de me lever. Après avoir nourrit des rêves où je deviens chevalier, où Il me parle enfin, où je sauve un monde perdu, où je rencontre Gandalf, où je chevauche un dragon, ce fantastique quitte ma tête embrumée encore de rêves improbables pour venir s'inscrire sous mes doigts sur le clavier, sous ma plume sur une feuille, sur une mélodie imaginaire improvisée...

     

                   Le fantastique nourrit-il les rêves ou les rêves nourrissent-ils le fantastique ?

              L'un comme l'autre.

     

     

     

         Voilà donc en espérant que mon petit machin du dimanche soir vous ait plut et vous ait peut être appris des choses sur la folie qu'il règne sous mon crâne...

         Les articles des autres participants :
    ChtiteFourmi
    Eyael_
    LaPetiteBlogueuse
    Nyeh

     

     

     

     


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